Archive de catégorie

Ce qui suit est une liste de toutes les entrées pour la catégorie Projet.

Une heure de temps (extrait)

3 minutes 30 secondes inscrites = 14 minutes et 29 secondes en durée


(……yahooooo!!)


yvette.et.paulette

bonjour à tous,
je vous invite à aller voir mon site internet

http://yvette.et.paulette.free.fr

n’hésitez pas à réagir…


L’état de mon travail ce matin (et le mien)

Tombée du lit de force…
Acharnement. Même plus d’énervement mais une obstination.
La notion du temps prend d’autres échelles, de l’ordre de “347 minutes restantes”… Quelle heure sera-t-il alors dans 350 minutes…
Relancer, recommencer…
On cherche à s’organiser pour alimenter le temps d’autre chose que d’un calcul dont on est exclu. On cherche à se changer les idées parce qu’aussi on boucle un peu mais on s’obstine encore…
Tout me semble en ce moment “anticipation”, “préparation”, “organisation”…
J’ai hâte de passer à l’échelle temps “2 minutes”…

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sphèrique

Suite au 1er travail des mots >>>
Déf. : « Un réseau sémantique se présente sous la forme d’un ensemble de nœuds, correspondants chacun à un concept, reliés entre eux par des liens qui peuvent être activés. Attribuer un sens consisterait à activer un certain nombre de ces connexions au sein de ce réseau. »

Pour la navigation:
je pars de l’idée de la forme parfaite qu’est la sphère ; a l’intérieur un système d’arborescence qui permettra de visualiser mes travaux réalisés jusqu’ici.
La prochaine étape est la modélisation de cette sphère sur logiciel 3D.

superspher.jpg

***/ j’ai trouvé un travail de Ben Fry, “anemone” qui utilise des méthodes de visualisation de grandes quantités de données et crée des systèmes organiques qui réagissent et répodent à l’influx de données..
http://acg.media.mit.edu/people/fry/anemone/applet/

et >http://www.tom-carden.co.uk
programming.jpg


mémoires nomades (le projet)

Ma réflexion porte sur l’idée : comment notre mémoire est sollicitée au quotidien ? Comment dans notre langage un mot est déclencheur d’une image, d’un souvenir ? comment se fait ce passage?

C’est représenter la frontière/l’espace entre ce passage inconscient du mot à appel du souvenir la mémoire.
– L’intention de cette recherche est de pouvoir développer des réseaux, des connections « puzzle » mettre en relations des idées composer une navigation comme celle sur le net, d’un lien qui nous entraine sur une multitude de possibilités.

Comme point de départ, une collection de mots :
Débutée en février 2oo4, j’ai constitué une collection de mots issus de diverses lectures, et organisé formellement une liste.
Ma première démarche fut de soumettre cette liste à des auteurs, présents lors du Salon du Livre de Pau. Ces mots détachés de leurs contextes perdent leurs sens, que je me réapproprie. En résulte une liste ouverte, qui offre autant de possibilités à imaginer.

*l’Ecriture fragmentaire/
Aujourd’hui l’écriture est à l’économie, avec l’utilisation de messages électronique comme les « texto » où les mots prennent une forme réduite, limités par le nombre de caractères.

Description/
Dans un premier temps, j’ai numérisé chaque mot et ajouté à l’ensemble une fonction aléatoire (random).
Cette fonction permet de gérer de manière imprévue, la lecture des objets qui compose l’animation.
L’effet est inoptique par la rapidité d’affichage des mots. Aussi impalpable que l’insant meme où jaillit un souvenir.
Comme ces images « latentes » résiduelles qui stagnent dans notre mémoire. Les mots sont un moyen de sustitution de notre mémoire.


compte-rendu du workshop

Le 15.03.06 >

// 11h50

mon projet initial passe à la trappe.

je vais partir de mon projet ‘cursor memory’.

une idée simple : perdre le curseur de l’internaute dans une foret de curseurs en mouvements.
une remarque de Grégory Chatonsky : “le curseur c’est soit”

ce que propose Grégory c’est de documenter ce projet, son utilisation :
- filmer l’écran
- filmer la main et la souris
- filmer le visage

Problème : mon programme a une mémoire “à court terme”…
> comment le processus d’enregistrement vidéo peut-il parasiter cet oubli ?

// update 12h15

si on enlève la “limite”, qui fait s’effacer la mémoire par la mémoire, jusqu’où
peut aller cette capitalisation absurde ?

Je vais essayer d’atteindre la limite de mon programme.

// 18h11

putain ça fait 75 minutes que ça tourne, histoire de voir combien de temps ça met à planter.
ça plante pas.
ça ralentit.
et évidement je n’ai rien filmé…

concertation avec Grégory :

demain, tu y passes ta journée, obligé, dès 9h30. je t’apporterai à manger.”

je vais donc créer pour la performance une variante de mon programme, dont la fonction absurde sera d’enregistrer, d’accumuler.

où vais-je trouver ma place dans tout ça ?

Le 16.03.06 >

// 13h00

tout est en place (matériel, logiciel), pour Sophie aussi /
on capture avec “camtasia” / c’est parti !

>> les vidéos, version net

capture
// 17h15 (copie de mon carnet de notes)

plus de 4h00
plus de 700 curseurs.
je vois les choses en 12 images par seconde.
c’est lent
si je marche, ça risque bien d’être saccadé
mes yeux cherchent à sortir de mes orbites
j’ai trop chaud.

4h c’est long, surtout à “se” regarder en boucle
je suis pas sûr de retenter une telle expérience
j’éteins les ordis, ça fait bizarre…

Gregory, qui se marre : “tu sembles à la limite de l’intelligence”

je me lève, tiens, j’ai mal à la tête.
dispersion, j’ai du mal à coordonner idées et actions

> “millions cursors“, en version “illimitée - performance” !
> http://madframes.free.fr/millions_cursors